Le désenvoutement, une pratique pas comme les autresClassé dans : Desenvoutement

Le désenvoutement est une pratique qui peut être très dangereuse si elle n’est pas effectuer par un expert en la matière, car on parle non pas seulement de magie blanche, mais aussi et surtout de magie noire, celle que l’on doit contrer. Par conséquent, seul un désenvouteur authentique et expérimenté doit s’aventurer dans ce domaine très sensible de la magie. Tous désenvouteurs authentiques doivent être aptes d’agir sur un domaine en particulier, celui du « causal-corps-causal ».

Le désenvoutement ne doit pas être pratiqué par n’importe qui se disant être des experts dans le domaine ésotérique. Certes, il existe des « formules » de désenvoutement qui peuvent être utilisées par ceux qui veulent tenter l’expérience, cependant, des bases sont nécessaires avant la mise en application, car sans savoir-faire et maitrise, cela risque d’être très dangereux, tant pour le désenvouteur que pour l’envouté.

Le désenvoutement est donc accessible à tous, mais ne doit pas être pris pour acquis et le rituel doit être préalablement maitrisé avant d’être appliqué. Un entretien régulier des diverses énergies ésotériques est nécessaire pour y parvenir, entre autres, une pratique quotidienne du rituel du pentagramme de renvoi à la terre par exemple, ou celui de la croix kabbalistique, très utilisée dans le domaine du désenvoutement, le rituel de médiation sur les chakras, ou encore une pratique sur le travail de renforcement de l’aura, etc. Un désenvouteur doit donc être capable de percevoir et d’agir en même temps, donc être à la fois médium et mage.

En quoi consiste un rituel de désenvoutement ?

Tout rituel faisant appel à la magie nécessite en tout premier lieu, une séance de purification tant des personnes présentes que du lieu où se déroule le rituel. Dans le cas du désenvoutement, la séance de purification est suivie d’une prière de désenvoutement, qui se présente sous différentes formes dont quelques modèles « type » sont proposés soient directement par des voyants, soient dans des livres ésotériques ou encore sur les sites internet réservés à l’ésotérisme. La prière de désenvoutement est la méthode la plus utilisée dans son genre, car elle est simple et rapide d’efficacité. Néanmoins, si cette méthode ne suffit pas, le désenvouteur peut toujours faire appel à d’autres techniques, dont l’usage du magnétisme par exemple.

Pour la prière de désenvoutement, elle est à effectuer pendant neuf jours successifs, et chaque séance doit être accompagnée d’un rituel spécial qui requiert l’usage de quelques supports, comme une bougie noire, de l’encens ou encore de l’huile essentiel. Après s’être rechargé en énergie, le désenvouteur devra allumer la bougie noire qu’il aura préalablement bénie en bannissement. Bénir une bougie en bannissement consiste à empeigner la bougie d’huiles essentiels en allant de bas en haut en prononçant la formule « que cette bougie me soit consacrée, représentation des énergies négatives/envoûtement qui sont bannis et détruit par le feu « . Une fois la bougie et l’encens allumés, le désenvouteur prononce la prière choisi pour la séance, en méditant à chaque phrase sur les énergies correspondantes. Il devra enfin terminer la séance en laissant la bougie se consumer jusqu’au bout.

Pour qu’un rituel de désenvoutement soit efficace, non seulement il doit être pratiqué par une personne expérimentée, mais il doit également être réalisé dans certaines conditions. Le rituel doit en effet avoir pour finalités trois grands points. Un rituel de désenvoutement doit avoir pour objectif premier, de dégager les énergies négatives, et de purifier l’envouté que ce soit sur le plan physique mental, astral ou causal. Il s’agit donc de détecter les sources des problèmes et de les radier de façon définitive. Une fois le problème dégagée, le désenvouteur procède à une restauration, ou à une réparation qui vise à réparer les conséquences engendrés par l’envoutement. Au risque sinon que les symptômes persistent parce que les dégâts sont là, mais plus la cause, ne restant ainsi que les conséquences. Le dernier objectif d’un rituel de désenvoutement est la protection optimale de la victime qui peut être encore fragile mentalement, physiquement mais surtout spirituellement à la suite du mauvais sort qui s’était abattu sur sa personne.